Éditorial
Je m’appelle Manon, j’ai 28 ans. Je suis entrée chez Bouygues Construction il y a 5 ans à la fin de mes études en aménagement urbain. J’ai ensuite rejoint une filiale de Bouygues Bâtiment International l’année suivante. Si j’ai choisi ce cursus et cette entreprise, ce n’est pas par hasard. J’aime l’idée que mon activité puisse laisser une empreinte, et j’aime l’idée qu’à titre personnel, j’ai concrètement le pouvoir de faire avancer les choses de manière positive.
Je suis une professionnelle du développement et de la construction, mais je suis aussi une citoyenne concernée par l’avenir de notre planète. Pour moi, ces deux composantes ne peuvent pas être dissociées. Au quotidien, sur mes projets, je me bats pour construire un monde en accord avec mes convictions, pour réduire l’impact environnemental de nos actions et favoriser l’inclusion sociale. Je ne dis pas que c’est tous les jours facile mais nous n’avons pas le choix. Si nous ne le faisons pas maintenant, ma génération sera celle qui connaîtra les affrontements sociaux, le réchauffement climatique, les catastrophes naturelles qui en découlent, les crises migratoires qui en sont la conséquence, les déchirements humains qui l’accompagnent.
J’ai le sentiment que cette question du sens et de la responsabilité est réellement au coeur des aspirations des gens de ma génération. J’espère que tous les employeurs à travers le monde en ont conscience parce que c’est un critère d’attractivité majeur ! À mes yeux, les entreprises du 21e siècle ont le devoir d’être bienveillantes. Je ne pense pas que je pourrais travailler pour une organisation qui ne partagerait pas ce point de vue.
Chez Bouygues Bâtiment International, j’ai la possibilité de faire du volontariat 2 jours par an. Je soutiens une association qui permet à des enfants de familles défavorisées de partir en vacances. C’est une fierté, c’est ma pierre à l’édifice. Cette édition de Nos Belles Histoires, que je découvre avec vous, est un éclairage sur toutes les pierres que collectivement nous apportons partout dans le monde. Chacun à sa manière, chacun selon le contexte auquel il est confronté. Mais toujours avec chevillées au corps les valeurs que nous partageons : l’empathie et la solidarité.